20/11/2023 – Clickimpôts 2024 est arrivé !

Le nouveau millésime 2024 est ouvert.

Clickimpôts a été automatiquement mis à jour et permet désormais de gérer l’imposition des revenus perçus en 2023.

  • Si vous avez précommandé le millésime 2024, vous n’avez rien à faire ! Votre version de Clickimpôts est passée par défaut sur ce nouveau millésime. Vous retrouvez bien entendu vos dossiers de l’année passée que vous pouvez convertir dans ce nouveau millésime.
  • Si vous n’avez pas commandé ce nouveau millésime, votre version de Clickimpôts reste fonctionnelle pour vous permettre de gérer vos dossiers du millésime précédent. Si vous décidez d’acheter la version 2024 sur notre boutique, votre version basculera alors automatiquement vers ce nouveau millésime.

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Évolutions réglementaires

Clickimpôts 2024 intègre les évolutions réglementaires prévues à la Loi de finances 2024, ainsi que des mesures déjà votées entrant en application pour les revenus 2023, dont voici les principales :

  • L’actualisation du barème de l’impôt sur les revenus ;
  • Le durcissement des revenus tirés de la location de meublés de tourisme ;
  • La prorogation des dispositifs SOFICA, Denormandie, Malraux, don « Coluche », crédits PPRT (dépenses en faveur de l’aide aux personnes), CIMA (métiers d’art) et HVE (haute valeur environnementale) ;
  • La hausse du taux de réduction pour les dons pour la Fondation du patrimoine ;
  • La non déduction des dettes relatives à des actifs non imposable à l’IFI pour la valorisation des titres de sociétés imposables à l’IFI ;
  • La possibilité d’imposer les cessions d’actifs numériques au barème ;
  • Le relèvement du déficit foncier imputable sur le revenu global pour les travaux de rénovation énergétique ;
  • La réduction Madelin portée à 25 %.

Découvrez en détail ces évolutions réglementaires.

Convertissez vos dossiers 2023 en millésime 2024

A l’occasion de ce changement de millésime, n’hésitez pas à consulter cette rubrique de l’aide pour utiliser au mieux la fonctionnalité de gestion des différentes années dans Clickimpôts.

La fiscalité des crypto-monnaies disponible dans Clickimpôts !

Alors que de plus en plus de Français investissent dans les crypto-monnaies, le traitement fiscal des actifs numériques demeure complexe. En effet, il convient de déclarer :

  • les comptes détenus à l’étranger (déclaration n°3916-bis) : la plupart des plateformes d’investissement (Binance, Coinbase, eToro, etc.) sont en effet basées à l’étranger et nécessitent d’être déclarées comme comptes ouverts à l’étranger,
  • les plus et moins-values sur les cessions d’actifs numériques (déclaration n°2086) : les plus-values sont en effet imposables à 30 % (12,8% d’impôt et 17,2 % de prélèvements sociaux), si le seuil de 305 € de montant global de cession est dépassé (nouveau sur les revenus 2023 : la possibilité d’opter pour l’imposition au barème pour ces cessions).

Clickimpôts est désormais à vos côtés pour rendre la déclaration des crypto-monnaies de vos clients plus facile :

  • les comptes d’actifs numériques ont été ajoutés dans la déclaration n°3916-bis l’année dernière,
  • le périmètre des déclarations traitées est élargi cette année avec l’ajout du formulaire n°2086.

Le formulaire n°2086 est accessible dans les dossiers et pourra être télédéclaré en même temps que la déclaration de revenus.

Renseignez les plus ou moins-values réalisées directement ou par l’intermédiaire de personnes interposées.

A noter que Clickimpôts effectue automatiquement les reports vers la déclaration 2042 (3AN/3BN).

Autres ajustements et correctifs

Les ajustements suivants ont également été apportés :

  • Correctif sur la réinitialisation totale de la déclaration n°2042 (un message bloquant empêchait de valider la déclaration).
  • Non-résidents :
    • Pour le calcul du taux moyen, les pensions alimentaires portées en 8TM étaient déduites à tort.
    • Revenu Fiscal de Référence : les revenus ayant supporté une retenue à 0 et 12 % (produits et revenus soumis aux retenues à la source prévues à l’article 182 A, 182 A Bis et 182 A ter) doivent être pris en compte.
  • Les gains d’acquisition d’actions gratuites portés en 1TZ n’étaient pas pris en compte dans la retenue à la source.
  • Calcul de la CEHR : en présence d’une plus-value de cession sur valeurs mobilières (3VG) avec déclaration d’un abattement pour durée de détention (3SG) et avec application du PFU (flat tax), l’abattement pour durée de détention entrait dans le calcul du crédit d’impôt lié à la CEHR alors qu’il devait être ignoré.
  • Revenus étrangers : le calcul du crédit d’impôt sur revenus étrangers prenait en compte à tort certaines plus-values alors que celles-ci n’étaient pas déclarées dans la 2047 (5HR, 5HX, 5KV, 5KY).